La Respiration Holotropique
En séance individuelle ou en groupe, la respiration holotropique est une technique de souffle puissante et effiesciente pour activer les mémoires cellulaires et ainis retrouver la racine de certains maux.
La respiration holotropique : un processus de guérison et de libération
Qu’est ce que la respiration holotropique ?
Stanislav GROF, médecin psychiatre et psychanalyste américain, découvre et met au point la technique de respiration holotropique avec sa femme, Christina Grof, dans les années 70. Leur approche est humaniste et transpersonnelle, et prend l’être dans sa globalité (sur les plans physique, psychologique, mental et spirituel).
Les sessions en groupe
Le groupe est porteur, et les ateliers de respiration holotropique avec plusieurs participants sont puissants et d’une rare justesse.
Un espace sécure est ouvert, où le pratiquant pourra vivre son expérience en toute confiance. Un temps de relaxation guidé permet de se laisser glisser dans le processus en douceur. Une vague musicale élaborée et spécifique accompagnera le processus tout le long. Chacun est invité à exprimer et se mouvoir librement, dans le respect des autres participants (les accompagnateurs font office de garants).
C’est une technique relativement simple à appliquer, qui demande cependant un engagement important. C’est pourquoi elle n’est pas conseillée aux femmes enceintes et personnes souffrant de problèmes cardiaques. Au moindre doute, nous consulter.
La respiration holotropique comme outil thérapeutique
La respiration holotropique peut être utilisée lors de séances thérapeutiques individuelles comme vecteur pour retrouver la source de nos traumas, et ainsi les guérir et les libérer. La respiration est alors guidée au fur et à mesure, et suit une intention qui aura été posée au début de la séance par le pratiquant.
L’efficience de la technique réside dans le fait qu’elle relie à la vision ou au ressenti du corps en contournant le mental qui fait souvent obstacle. Elle permet de mettre en lumière des évènements enfouis et de revenir à la racine de nos traumas.
> Ils en parlent : Magazine Psychologies